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1 . Lisez ce que vos enquêteurs lisent. Vous avez probablement vu beaucoup d’articles proposant des conseils d’entretiens aux demandeurs d’emploi – mais avez -vous déjà lu les conseils pour les intervieweurs de l’autre côté de la table? En lisant les instructions et les conseils aux enquêteurs, vous pouvez obtenir beaucoup de perspicacité concernant ce qu’ils sont formés pour chercher en vous, et pour quoi ils pourraient poser certaines questions. Relatif à cela …
2 . Le jeu de rôle avec un ami, mais vous jouez l’intervieweur. Les gestionnaires d’embauche expérimentés qui ont interrogé de nombreux candidats disent souvent qu’ils ne deviennent plus nerveux à leurs entretiens d’embauche, parce qu’ils ont fait de nombreuses interviews de l’autre côté et peuvent comprendre comment fonctionne l’esprit de l’intervieweur. Vous pouvez obtenir un peu de cet avantage en jouant à l’intervieweur vous-même. Si vous avez un ami à la recherche d’emploi, je suggère que vous pratiquiez ensemble – à tour de rôle jouant le rôle de l’intervieweur. Vous pourriez être surpris par la façon dont ceci vous fera sentir beaucoup plus confortable.
3 . Déterminez au sujet de quelles questions vous êtes plus nerveux. S’il y a un domaine spécifique de questionnement pour lequel vous êtes particulièrement nerveux – comme le montant du salaire souhaité ou pourquoi vous avez quitté votre dernier emploi –, n’espérez pas simplement qu’on ne vous le demanderait pas ou que vous alliez découvrir une bonne réponse dans l’instant. Au lieu de cela, supposons que vous serez invité à y répondre et pratiquez votre réponse encore et encore – même, répétez à haute voix. De cette façon, vous n’aurez pas l’angoisse en espérant que le sujet ne se pose pas, et vous aurez une réponse polie et efficace si c’est le cas.
4 . Essayez d’obtenir votre entrevue prévue dans la matinée si vous pouvez. Autrement, si vous êtes comme la plupart des gens, le rendez-vous sera accroché sur vous toute la journée, avec votre stress qui augmente à mesure que chaque heure passe. Programmez pour le matin et débarrassez-en vous avant que vos nerfs rongent votre calme et votre confiance.
5 . Demandez à l’avance qui vous allez rencontrer. C’est tout à fait correct de demander lors de la planification de l’entretien, «Pourriez-vous s’il vous plaît laissé-moi savoir qui je vais rencontrer ? » En le découvrant à l’avance, vous ne serez pas aveuglés si vous marchez dans l’interview en vous attendant à rencontrer une personne et découvrant que c’est en fait une interview en face de cinq personnes. Vous pouvez rechercher vos interlocuteurs à l’avance sur le web pour avoir une idée de qui vous parlerez avec .
6 . Ne vous présentez pas à l’avance. La plupart des enquêteurs sont gênés si les candidats se présentent plus de cinq ou 10 minutes à l’avance, car ils peuvent alors se sentir obligés d’interrompre ce qu’ils font et de sortir pour vous saluer. Vous devriez absolument aller au lieu de l’entrevue en avance, parce que vous voulez vous laisser une marge de sécurité au cas où vous rencontreriez des embouteillages ou d’autres retards – mais il ne faut pas entrer dans l’entreprise où vous êtes attendu pour une entrevue jusqu’à ce qu’il soit cinq minutes avant l’heure prévue.
7 . Évitez de lire ou présenter les lettres de recommandation. Vous pourriez penser de renforcer votre candidature en rassemblant des lettres de recommandation, mais, au mieux, vous leur faites perdre leur temps et le vôtre. Lorsque les gestionnaires d’embauche en arrivée au point qu’ils veulent parler à vos références, ils veulent parler avec eux – au téléphone, où ils peuvent poser leurs propres questions et sonder les non-dits. De plus, les employeurs savent que personne ne met des informations essentielles dans ces lettres, elles n’ont donc pratiquement aucune valeur. Passez les lettres et attendez d’être invité à présenter les coordonnées des références.
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